einem Briefe vom 12. Dezember 1775 folgendermaßen: „J'admire le sujet que vous avez choisi pour écrire de ce
jue par le moyen des mérites des semmes on fait le plus grand bien des hommes et de la sociéêté. Je suis
de votre sentiment que la matière que vous traitez est délicate. Car je ne suis point prévenue en saveur de
non sexe pour leur attribuer tant de propriétés avantageuses. Mais comme vous voulez diriger leur éducation
deut- étre . . ()) galant homme, vous passerez sur beaucoup de désauts qui les caracterisent, pour parvenir à
otre but, et tout mon sexe vous devra de l'obligation pour cette politesse. En attendant je suis persuadé
due tout ce qui sortira de votre plume méritera l'attention que votre esprit enfantera. Je suis curieuse de
la sfaçgon dont vous vous tirerez du labyrinthe que —E entreprennez, et je me flatte que vous me seriez le plaisir
de me procurer cette production dont je vous serai redevable autant que de vos lettres que je reçois avec
zatisfaction et l'éstime avec laquelle je reste . .“
Am 7. Februar 1760 wurde de Catt Mitglied der Berliner Akademie. Sein Dankschreiben, wahrscheinlich an
den damals an Stelle eines fehlenden Präsidenten die Geschäfte der Akademie leitenden Euler gerichtet, lautete?! „C'est
ivec la plus vive reconnaissance que je reçois la grâäace que vous avez daigné me faire. Vous avez
oulu sans doute récompenser mon respect pour vous et mon admiration pour vos ouvrages ou en-
ourager de faibles talens que je cultiverai avec d'autant plus de soin que je sens tout le prix de la
aveur dont vous m'honorez: Mais malgré l'ardeur avec laquelle je vais cultiver les lettres que vous rendez
espectables et aimables, je ne puis prétendre à de grands succès tant que je serai éloigné de vous. Quel
ↄlaisir n'aurai je pas de vous entendre, de m'éclairer et de me sormer le goâût dans vos entretiens et dans vos
assembléjes lorsque la paix mettant fin à tous les maux qui accablent l'humanité ramènera triomphant un Prince
Jui par ses talens, par son courage, par sa sermeté et par les vertus a fait l'admiration de toute l'Europe et la
era de toute la postérité.“ Diese Ernennung hatte insofern Bedeutung auch für die Beziehungen de Catts zum König,
als er nach dem Code Maupertuis' und d'Argens' der einzige Vermittler zwischen der Akademie und ihrem Neuschöpfer
war. Die Akademiker wandten sich mit ihren Wünschen an de Catt, der seinerseits dann wieder d'Alemberts Ver—
mittlung in Anspruch nahm, um auf den König zu wirken. Amüsant ist, daß d'Alemberts Vermittlung auch in
mderen Dingen in Anspruch genommen wurde. Am 27. März 1777 schreibt die Herzogin Charlotte von Braunschweig
in de Catt: „Soufflez d'Alembert pourqu'il porte le Roi à menager sa santé en ne mangeant pas des mets
chauffants et s'en tenant à des simples qui ne gàâtent pas le sang. Quelquefois quand les choses sont dites
à propos par des étrangers, cela porte plus de coup et l'on y fait attention.“ Seine erste Vorlesung in der
Akademie hielt de Catt am ersten Geburtstage, den Friedrich der Große nach dem Uriege wieder in Berlin verlebte.
Es war eine freundliche Aufmerksamkeit der Akademie, den langjährigen Begleiter und Vorleser des Königs mit
dieser Festrede zu betrauen. Zum Thema wählte er die Frage, welche geistigen Fähigkeiten ein literarisch tätiger
Mann haben müsse. „Porté par inclination à l'étude des belles lettres,“ begann er seinen Discours sur les talens
du littérateur , „fixé à cette étude par un choix qui me flatte et m'honore, je devrais à ce qu'il semble, commencer
nes fonctions d'académicien par l'éloge de la littérature.“ Er stellt sich die Frage: „Quelle qualité de l'esprit doit
dominer dans un littérateur?“ und „Si celle qui devrait dominer, se trouve trop faible, peut-on la fortifier par
'art?“ Dabei kommt er auf die grundlegenden Unterschiede von Wissenschaft und schöner Literatur, ohne seine eigentliche
Aufgabe eingehend zu behandeln. Aus dem Schluß der Rede, der hier wegen ihrer Bezugnahme auf den König
wiedergegeben sein mag, spricht noch der gewaltige Eindruck des in den vergangenen Jahren Erlebten. „Je me flatte,
Messieurs, que vous approuverez mes efforts et m'aiderez de vos exemples et de vos conseils à remplir dignement
e place dont vous m'avez honoré, et à travailler utilement avec vous aux progrès des sciences eét des lettres
sous làa protection du Monardue dont nous célébrons auiourd'hui la naissance. Parmi les soins infinis du
Göritz⸗Cübeck⸗Stiftung. — Konzept im Kal. Bausarchiv, Rep. XILVII. — 3 Mémoires de l'Académie Rovale des seiences et
»elleslettres 1764. 8. 484 5